Ce vendredi 26 juillet, des milliers de personnes ont assisté à la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024. Au lendemain de cet événement, le capitaine Frédéric Foulquier, chef de la musique de la Garde Républicaine, est revenu sur sa danse avec Aya Nakamura, qui a créé le buzz, au micro du Parisien. Voici les détails.
Après une longue attente, le public a enfin pu admirer le spectacle marquant le début des Jeux Olympiques de Paris 2024. Nous avons ainsi pu assister aux prestations de Lady Gaga, Philippe Katherine, Aya Nakamura ainsi que Rim’K et Céline Dion. D’ailleurs, le rappeur a partagé avec émotion ce moment historique sur Instagram où il a écrit :
On a traversé des hauts et des bas, des moments de joie et des épreuves difficiles parfois même sombres, mais cet instant résonne comme une victoire partagée, celle de tous ceux qui ont forgé mon parcours : vous. Le jeune Abdelkrim de Vitry-sur-Seine n’aurait jamais pu s’imaginer un jour chanter à quelques pas de la Tour Eiffel devant plus d’1,5 milliard de spectateurs. Merci pour tous vos messages de soutien et d’amour. Merci à toute l’organisation, au Comité des JO, Victor le Masne, Sam Tiba, Thomas Anduze, PE, Lucia Serrano, Fred, Cassandre, Juliette, Jimmy, Daphne Burki, Lucien Jornod. Et merci à Live Nation pour la confiance, Louis Vuitton, le Ritz Paris, Omega, Question de Son, La Bougie Productions et tous les techniciens. Amicalement, Tonton.
« Prouver qu’on en est capable… » : le garde républicain qui a dansé avec Aya Nakamura s’explique
Pour sa performance très attendue, Aya Nakamura a revisité des classiques de Charles Aznavour dans un medley où elle a également interprété ses célèbres titres Djadja et Pookie. Elle a été accompagnée de soixante musiciens de la Garde Républicaine et de 35 choristes du chœur de l’armée de terre.
Le lendemain de ce spectacle, le capitaine Frédéric Foulquier, chef de la musique de la Garde Républicaine, est revenu sur son mouvement de danse qui a fait sensation. Celui-ci était totalement improvisé, comme il l’a expliqué au Parisien :
On pressentait que l’opinion ne resterait pas insensible à cette prestation. C’était un challenge encore plus excitant de faire taire les mauvaises langues et montrer qu’on peut se retrouver autour d’un art comme la musique. C’est la réunion de deux mondes, la langue française académique et de l’autre côté la langue parlée, la langue de la rue.
De quoi faire taire les mauvaises langues.