« Je n'ai jamais prétendu être un grand travailleur… » : Ciryl Gane regrette ce défaut - Street Korner

« Je n’ai jamais prétendu être un grand travailleur… » : Ciryl Gane regrette ce défaut

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Les fans de Ciryl Gane attendent avec impatience son retour dans l’octogone depuis plusieurs mois. Malgré quelques critiques, Bon Gamin a reconnu lors d’une interview accordée à La Sueur qu’il n’était pas le plus assidu. Voici les détails.

Après sa défaite rapide face à Jon Jones, Ciryl Gane a pris sa revanche en septembre dernier en battant Sergey Spivak à Paris. Depuis, il est resté discret malgré plusieurs offres, dont un combat contre Tom Aspinall, qu’il a refusé, créant des tensions entre eux.

En parallèle, Ciryl Gane a exprimé son souhait de revenir bientôt dans l’octogone. En attendant, il a débuté sa carrière d’acteur dans un film d’action qui sortira sur Netflix.

« Je n’ai jamais prétendu être un grand travailleur… » : Ciryl Gane regrette ce défaut

Le 26 octobre prochain, Ciryl Gane affrontera Alexander Volkov à Abu Dhabi, et pourrait également participer à l’UFC Paris dans les semaines à venir. Contrairement à Cédric Doumbé qui suit une préparation très stricte, Bon Gamin est plus détendu sur son rythme de vie.
Lors d’une interview avec La Sueur, la recrue de Dana White s’est confiée ouvertement :

« Malheureusement, je suis paresseux, c’est la vérité. Je m’entraîne seulement quand un combat est annoncé. J’ai été rapidement plongé dans les médias et les opportunités professionnelles et extra-sportives. Il faut aussi du temps pour la famille et pour se reposer. Mon regret est de ne m’entraîner que lorsqu’un combat est annoncé. Après mon combat contre Tai Tuivasa, je faisais semblant de m’entraîner de temps en temps, mais je m’y suis vraiment remis seulement pour le retour de Jon Jones à Vegas. J’ai toujours été honnête, je n’ai jamais dit que j’étais un gros bosseur. »

Ciryl Gane a ajouté :

« J’ai toujours dit que j’étais paresseux et qu’il y a des gars à la salle qui travaillent trois fois plus que moi. Sur une année, tu vois comment ils s’entraînent, combien de fois par jour… ils s’entraînent peut-être cinq fois plus que moi. Et pourtant, j’en suis là. »

Difficile de trouver le juste milieu…

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