Jérôme Le Banner a récemment participé à LEGEND, l’émission animée par Guillaume Pley. Lors de cette interview, le journaliste lui a demandé son point de vue sur l’événement marquant du combat entre Cédric Doumbé et son écharde au pied ayant conduit à sa défaite par KO lors du PFL Paris le 7 mars dernier. Voici les détails.
Après une première victoire en septembre dernier contre Jordan Zebo, Cédric Doumbé est retourné sur le ring le 7 mars pour affronter Baki. Cependant, cette rencontre s’est soldée par une défaite par KO au troisième round, l’arbitre ayant attribué la victoire à son adversaire alors que Cédric Doumbé signalait une gêne due à une écharde dans son pied.
En vue du Bellator Paris le 17 mai prochain, Cédric Doumbé a exprimé son désir de ne pas être arbitré par Marc Goddard. Lors d’une conférence de presse, il a déclaré :
J’appréciais Marc Goddard avant le combat contre Baki. Je ne l’aime plus. Si je peux choisir, je demanderai au Bellator que mon combat ne soit pas arbitré par lui.
Pendant ce temps, Cédric Doumbé a également commenté son prochain combat :
Jaleel Willis est confiant, ce qui est bien, car tous mes adversaires sont confiants avant de goûter à mon jab. Ce sera encore mieux s’il essaie de me mettre KO, contrairement à mon précédent adversaire qui fuyait. Personnellement, j’aime le contact.
« Je ne comprends pas » : Jérôme Le Banner réagit à l’écharde de Cédric Doumbé
Il y a quelques jours, Jérôme Le Banner a accordé une interview à LEGEND. Au cours de cette discussion, le champion de boxe est revenu sur son altercation avec Vin Diesel ainsi que sur un incident impliquant le compagnon de sa fille.
Profitant de son expérience, Guillaume Pley a interrogé Jérôme Le Banner sur l’écharde de Cédric Doumbé. Celui-ci a répondu de manière franche :
Ouais je comprends pas. Je comprends que même il puisse sentir avec l’adrénaline, il puisse sentir le pied, enfin, qui puisse sentir une écharde dans le pied. Je ne comprends pas. Je reste pantois. Là, tu es en combat, le mec qui est là pour te punir.
Voilà ce qu’il en est !