Que ce soit à travers les médias ou via les réseaux sociaux, 50 Cent est omniprésent et suscite de nombreuses discussions. Cependant, il évite soigneusement d’aborder des sujets qui divisent, comme la politique et la religion. Voici ce qu’il a partagé à ce propos.
À l’approche de la cinquantaine, cet artiste iconique du rap américain reste une figure incontournable. Dès le début des années 2000, 50 Cent s’est imposé comme un acteur majeur, avec une carrière musicale couronnée de succès, complétée par la sortie d’un film autobiographique. Néanmoins, il choisit de ne jamais se prononcer sur les questions de politique ou de religion. Lors d’un entretien récent, le rappeur a déclaré :
Ne t’aventure ni sur le terrain de la religion, ni sur celui de la politique. Tu sais pourquoi ? Quelle que soit ta position, quelqu’un sera en désaccord avec toi. Que ce soit au sujet d’Allah ou du Christianisme, on te critiquera. En ce qui concerne les partis politiques, qu’ils soient démocrates ou républicains, c’est la même chose. C’est pour cela que je m’en tiens à l’écart. Quand on me demande mon avis sur la politique, je souris et je n’ajoute rien. Je suis un observateur. Mon domaine, c’est le divertissement, qu’il s’agisse de musique, de films ou de télévision. Alors, pourquoi repousser les gens en exprimant ces opinions ? Je souhaite que tout le monde apprécie ce que je crée. Je me concentre sur la diversité, c’est ce dont on a besoin.
50 Cent a dû dépenser une fortune en frais juridiques
Au-delà de ses provocations en ligne, 50 Cent a également dû faire face à de nombreux défis juridiques tout au long de sa carrière : divorces, litiges sur des droits d’auteur et bien d’autres affaires. Il a ainsi révélé avoir déboursé une somme astronomique pour régler ses différends légaux : 24 millions de dollars. Lors de son passage dans le podcast Million Dollaz Worth of Game, le rappeur a précisé :
J’ai dépensé 24 millions de dollars en frais de justice tout au long de ma carrière. J’avais tellement hâte de devenir riche.
Dans la suite de l’interview, il explique qu’il n’a pas de manager et qu’il s’appuie uniquement sur un avocat pour gérer ses affaires financières et professionnelles :
Pourquoi aurais-je besoin d’un manager ? J’ai déjà conclu tous les accords possibles des centaines de fois. Ils veulent tous prendre un pourcentage, mais c’est moi qui ai bâti cet empire, pas eux.
