Kamini (44 ans) révèle les gains générés par son hit « Marly-Gomont »

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Récemment, Kamini était l’invité de Jordan de Luxe dans l’émission Chez Jordan. Lors de cette entrevue, le rappeur a parlé de sa carrière et du revenu généré par son fameux morceau Marly-Gomont. Voici les détails.

Avec l’essor de TikTok, de nombreux titres des années 2000 et 2010 ont connu une nouvelle popularité. Cela a permis aux plus jeunes de les découvrir tout en apportant une touche de nostalgie à ceux qui ont vécu cette époque.

Il y a 18 ans, Kamini a marqué les esprits avec son look unique et son titre surprenant Marly-Gomont. Mélange de ruralité et d’humour, ce rap a rapidement conquis le public. Dans ce morceau, il décrivait sa vie quotidienne dans son village en Picardie. Bien que les réseaux sociaux n’étaient pas aussi développés qu’aujourd’hui, l’artiste a vendu 400 000 exemplaires de ce single.

Lors de son passage dans Chez Jordan, Kamini a partagé une anecdote sur son morceau :

À l’époque, il n’y avait pas YouTube. C’était MySpace ou Dailymotion. Nous avions créé un lien sur lequel il suffisait de cliquer pour lancer la vidéo. Ce lien, nous l’avions envoyé à des maisons de disques (…) La légende raconte qu’une stagiaire d’Universal a cliqué sur le lien, a rigolé, et l’a partagé avec ses amis… Ensuite, 500 000 personnes disaient « Regarde ce rap de campagne, c’est trop marrant ».

Kamini (44 ans) révèle les gains générés par son hit « Marly-Gomont »

Marly-Gomont a également été diffusé dans le journal télévisé de Jean-Pierre Pernault, ce qui a contribué à son buzz. Concernant les revenus générés par le single, l’artiste de 44 ans a déclaré avoir gagné 200 000 euros qu’il a investis dans l’immobilier… avant d’être rattrapé par les impôts.

Pour autant, il n’a pas été en difficulté financière, car il a vendu à bon prix le scénario du film Bienvenue à Marly-Gomont. Il a ensuite évoqué une période vraiment difficile de sa vie :

Mon année difficile, c’était 2012. Tout le monde disait « Les Mayas ont prévu la fin du monde ». C’était la fin de mon monde à moi. Les impôts sont arrivés comme ça « Vous nous devez telle somme » (…) Je devais payer 80 000 euros, un truc comme ça (…) J’avais beaucoup investi dans l’immobilier, il me restait quand même des sous sur mon compte… En fait, pour résumer, j’ai vécu dans l’appartement que j’avais acheté, alors que j’aurais dû le louer immédiatement. Ça a été mon erreur.

On apprend de ses erreurs.

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