Depuis l’été, Poupette Kenza est sous les verrous, tandis que son époux Allan était activement recherché par les autorités. Alors qu’il tardait à se présenter en France, un nouveau tournant s’est produit dans cette histoire.
Ces deux dernières années, Poupette Kenza a été impliquée dans plusieurs controverses, que ce soit au sujet d’une collecte de fonds jugée frauduleuse pour des orphelins au Maroc, des accusations de maltraitance envers son fils ou encore des placements de produits illégaux.
Cet été, la justice a interpellé Poupette Kenza alors qu’elle se rendait en France pour un mariage. Elle est aujourd’hui accusée de « tentative d’extorsion en bande organisée» et d’« association de malfaiteurs». Enceinte de son troisième enfant, la jeune femme a sollicité une libération sous contrôle judiciaire, mais sa demande a été rejetée.
Un fait a toutefois surpris les internautes. Son mari, qui tardait à la rejoindre en France, refusait de coopérer. Ce sujet avait été abordé lors de l’émission AJA, où Cynthia Makhoul, invitée sur le plateau de Sam Zirah, avait commenté :
Le plus triste dans cette histoire, c’est le comportement de son mari, pas elle. Bien qu’elle soit incarcérée, lui, en revenant en France, pourrait accélérer sa libération. Mais il préfère rester introuvable.
Le mari de Poupette Kenza, Allan, interpellé alors qu’il se préparait à se rendre aux autorités
Tandis que Poupette Kenza est encore en détention, un événement inattendu vient bouleverser la situation. Quelques jours après que son avocat ait laissé entendre qu’une libération pourrait être envisagée prochainement, Aqababe a annoncé le lundi 23 septembre qu’Allan avait été « interpellé à la sortie du vol qu’il avait pris la veille pour, semble-t-il, se rendre aux autorités».
Reste à savoir si cette arrestation influencera le sort de Poupette Kenza. Ce qui est certain, c’est qu’Allan voyageait sans leurs enfants, renforçant l’hypothèse qu’il soit venu pour coopérer. À ce jour, ni les médias ni l’avocate de Poupette Kenza n’ont divulgué d’informations supplémentaires. Affaire à suivre.
