Récemment, l’OM a annoncé l’intégration de Mason Greenwood dans leur équipe. Cependant, le footballeur est au cœur d’une controverse en raison d’accusations passées d’agression sexuelle et de vi*lence conjugale. Matt Pokora a exprimé son soutien avant de clarifier sa position. Voici les détails.
Depuis le 18 juillet dernier, Mason Greenwood est officiellement un joueur de l’Olympique de Marseille. Toutefois, ce transfert évalué à 31,6 millions d’euros divise les supporters marseillais. Certains ne sont pas d’accord avec cette signature en raison des accusations de vi*lence et d’agression sexuelle qui ont été portées contre lui, même si le joueur a été blanchi.
Mais tous les fans de l’OM ne partagent pas cette opinion. C’est le cas de l’artiste Matt Pokora, fervent supporter du club depuis son enfance, qui s’est montré enthousiaste à propos de l’arrivée de Mason Greenwood. Sous une publication Instagram de l’OM, le chanteur a posté un commentaire qui a provoqué de nombreuses réactions :
Lessssssg00000000 ! Le seul endroit qu’on jugera, c’est le rectangle vert. Le reste, ce n’est pas de notre ressort. Sa rédemption, il la doit à sa femme et ses proches…pas à nous. Il est là, on va le soutenir.
Matt Pokora explique ses propos sur Greenwood
Ce commentaire a déclenché de vives réactions sur les réseaux sociaux, poussant l’artiste à le corriger rapidement. Dans un long message publié sur ses réseaux sociaux, Matt Pokora a précisé ses intentions :
J’ai été maladroit sur mon commentaire concernant l’arrivée de Greenwood à Marseille. Les interprétations faites ne reflètent pas du tout ma pensée, c’est pour cela que je l’avais rapidement supprimé. Evidemment que je condamne fermement et ne tiens pas à banaliser toutes formes de vi*lences faites aux femmes ! (Et mon commentaire aurait dû commencer par ça) Sachant que depuis cette histoire, ils se sont remis ensemble et que le couple a depuis accueilli une petite fille. Dans mon message, je disais simplement que ce n’est pas à nous de juger ce qu’il se passe aujourd’hui entre eux, et de ne pas les laisser avancer sereinement dans ce chemin de reconstruction avec cette petite fille au milieu. Telle était ma pensée. J’ai réagi (peut être naïvement) en père de famille. Il ne s’agissait en aucun de banaliser ce qu’il avait fait mes excuses aux personnes blessées.
