Ce samedi 26 octobre, Francis Ngannou a pris place sur le plateau de Quelle époque! sur France 2. Le combattant camerounais a partagé une histoire marquante lors de l’émission. Découvrez-en davantage sur ses révélations.
Il y a un an, Francis Ngannou entamait sa carrière en boxe anglaise face à Tyson Fury. Bien qu’il ait tenu dix rounds avec détermination, les juges ont finalement attribué la victoire à son adversaire. Néanmoins, ce combat a permis à Ngannou de récolter plus de revenus que durant toute sa période au sein de l’UFC, notamment grâce à son engagement avec la PFL.
Ensuite, il a affronté Anthony Joshua en mars dernier, une rencontre qui s’est également soldée par une défaite. Quelques semaines après, un drame personnel a frappé Francis Ngannou : la perte de son fils Kobe. Cet événement tragique l’a presque poussé à tout abandonner. Cependant, c’est en hommage à son fils qu’il est retourné combattre en MMA contre Renan Ferreira, remportant le duel en un seul round.
« Je peux intimider » : Francis Ngannou admet changer de côté de la rue pour rassurer les passantes
Il est difficile pour Francis Ngannou de passer inaperçu avec ses 1,93m et ses 120 kilos. Derrière son apparence imposante, celui qui a été soutenu par Rohff reste cependant très humble. Cela a été illustré lors de son passage à Quelle époque! lorsque Léa Salamé a réagi à ses propos :
Dans la vie, je suis plutôt réservé, pas du tout agressif. Conscient que ma carrure peut effrayer, lorsque je rentre seul le soir et que je croise une femme, je préfère changer de côté pour ne pas la mettre mal à l’aise.
Francis Ngannou a ajouté :
À l’époque, je ne réalisais pas à quel point mon apparence pouvait intimider. Des personnes m’ont raconté leur première impression, me disant qu’ils me trouvaient impressionnant. Moi, je ne le voyais pas ainsi. Je leur demandais : « Pourquoi ai-je cet effet ? » Ils me répondaient : « As-tu vu ta carrure ? ». Pour moi, tout semblait normal et je n’y pensais pas lorsque je me promenais. Alors, après avoir pris conscience de cela, dans certaines situations, pour que tout le monde se sente en sécurité, je traversais la rue. On pouvait alors sentir une atmosphère plus détendue se créer.
Francis Ngannou montre une nouvelle fois qu’il est un véritable champion, fidèle à lui-même !
