Il y a un peu plus d’un mois, Diddy a été placé en détention. Depuis cet événement, le nombre d’accusations contre lui ne cesse de croître. La date de son procès est désormais connue.
Il y a quelques jours, l’avocat Tony Buzbee, connu pour sa notoriété, a fait savoir qu’il représentera de nombreuses personnes prétendant avoir été victimes d’abus sexuels impliquant Diddy. À ce jour, plus de 120 plaintes ont été déposées, et ce nombre pourrait encore augmenter. En effet, une ligne directe a été mise en place pour permettre aux victimes de contacter rapidement l’avocat. Lors d’une interview, celui-ci a révélé que la hotline avait enregistré 12 000 appels en 24 heures !
Lorsque j’ai annoncé que je m’engagerais dans cette affaire, les témoignages ont afflué. En dix jours, nous avons reçu 3 200 appels, et après la conférence de presse d’hier, ce chiffre a grimpé à 12 000 en seulement 24 heures. Notre tâche colossale est de vérifier chaque appel, d’identifier qui sont les véritables victimes, les témoins potentiels et de rassembler les preuves.
Ce jeudi 10 octobre, un juge du tribunal fédéral de Manhattan a fixé au 5 mai 2025 la date du procès criminel de l’artiste. Le juge Arun Subramanian a également statué que Diddy resterait en prison, précisant qu’aucune nouvelle demande de libération n’avait été formulée par sa défense, après deux rejets successifs depuis son arrestation.
Le soutien indéfectible de la mère de Diddy
Malgré les graves accusations portées contre lui, Diddy peut toujours compter sur le soutien de sa mère. Récemment, elle a publié un message dans lequel elle défendait son fils :
Ça me déchire de voir mon fils jugé, non pour la vérité, mais pour un ensemble de mensonges. Assister à ce qui me semble être un lynchage public avant même qu’il ait eu l’opportunité de défendre son innocence est une souffrance indescriptible. Comme tout être humain, mon fils mérite un procès pour enfin raconter sa version et prouver son innocence. Je ne prétends pas que mon fils est parfait, il a fait des erreurs, tout comme chacun d’entre nous.
