Ce vendredi 21 juin, Rohff a marqué son retour avec un nouvel album intitulé FITNA. Depuis sa sortie, le rappeur de Vitry accuse les plateformes et les magasins de le boycotter. Voici les détails de ses déclarations.
Le retour de Rohff était très attendu par ses fans et les amateurs de rap français. Son nouvel album FITNA présente des collaborations impressionnantes avec Lino, Le Rat Luciano, Chil-P, Lyna Mahyem, Big Ali, Intouchable et AP du 113.
Quelques jours avant la sortie, Rohff a dénoncé un boycott de la part des magasins, affirmant que les grandes surfaces n’avaient pas suffisamment de copies de son album en stock. Il a également accusé les plateformes de streaming de le négliger. Sur son compte X, il a écrit :
Ben alors @spotifyfrance on oublie encore #Rohff ? Regardez les tendances, on parle de quel album ? #FITNA Lool Vous ne m’aimez pas ? Pourquoi ? L’authenticité et les valeurs vous dérangent ? Mes prises de position ? Boecottage ? Ok Tant pis pour vous !
Rohff s’exprime vivement sur les réseaux sociaux
Il y a quelques heures, Rohff a exprimé son mécontentement :
L’industrie boycotte FITNA, l’album de l’année, au-dessus de la mêlée. Mais de tellement loin ! Ils ne veulent plus de Rohff ces chiens. Seulement 2CD chez LECLERC ! LOL ils ont tout bridé FNAC de THIAIS ont réclamé 300 CD. Le siège refuse et donne 70. Ils ont récupéré le rap, ils ne le respectent pas, ce sont des petits ploucs sans code sans expérience. Irrespectueux envers les précurseurs qui font des vidéos réac.
Puis, Rohff a également critiqué les médias :
Ils n’ont aucune légitimité, ces sites de gossip hip-hop qui relayent les clashs pour polluer ma communication et participer au boycott pour un clic. Tous ces médias n’aiment pas le rap comme moi. Ils se demandent pourquoi je ne veux plus les voir en interview. Vous n’avez aucun respect pour l’histoire, pour le talent, pour l’art. Vos complexes de virilité, de street crédibilité, de longévité et d’authenticité n’empêchent pas FITNA de tous vous donner une leçon de rap. Un vrai album de rap, on s’en fout des chiffres, c’est la gifle qui fait mal.
