« Ils régleront leurs comptes » : Maes relance son clash avec Booba et les artistes du 92i

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Les jours d’entente entre Maes et Booba semblent bien loin. Toujours en opposition avec le rappeur du 92i, l’artiste de Sevran a une nouvelle fois attisé les tensions, visant cette fois également d’autres membres du label. Voici un récapitulatif de la situation.

Récemment, Gims et sa compagne Demdem ont déposé une plainte pour harcèlement moral et cyberharcèlement contre Booba, mais Maes ne semble pas vouloir enterrer la hache de guerre. Maes, bien qu’il ait déjà pris part à la controverse autour de son ancien mentor et ses commentaires polémiques sur le Maroc, semble décidé à relancer leur querelle.

Et le clash ne s’arrête pas là. Il y a peu, le rappeur a partagé sur ses réseaux sociaux une image d’une boîte aux lettres, accompagnée d’un message ciblant directement Booba et les artistes du 92i sur X, anciennement Twitter :

Booba, sors un peu prendre l’air, il fait bon à Paris… sinon, ce sont tes artistes qui vont en pâtir #Ochoo #GuySavoy

Dans une vidéo postée en story, Maes a également montré qu’il ne plaisantait pas : on le voit sonner à une porte avant de descendre des escaliers. Bien que ce geste ait été perçu comme une menace par certains, une grande partie des internautes l’ont plutôt tourné en dérision.

Maes attaque, Booba réplique

Il n’a pas fallu longtemps à Booba pour réagir à cette provocation. Le DUC, qui avait récemment pris pour cible Kylian Mbappé, n’a pas semblé intimidé par ce geste. Au contraire, il a préféré répondre avec humour, en s’adressant à Maes :

@MaesOfficiel P*tain, t’es même devenu facteur maintenant ? C’est du jamais vu. Walid, le maître des boîtes aux lettres. Et ton album, il marche bien au moins ? Bon courage pour tes projets, t’es vraiment au top !

Pour en rajouter, Booba a publié un montage humoristique représentant Maes dans un costume de facteur, avec ce message sarcastique : « @morrey27, change ta serrure de boîtes aux lettres, il distribue même les factures EDF, c’est chaud ».

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