À moins de trois mois des Jeux Olympiques de Paris 2024, Valérie Pécresse a fait le point sur l’état d’avancement de l’organisation des transports en commun pour l’événement à venir. Voici les détails.
Depuis plusieurs semaines, les discussions vont bon train sur la participation éventuelle d’Aya Nakamura à la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024. Mais au-delà de cela, la préparation de l’événement suscite également beaucoup d’intérêt. En effet, la capitale a connu d’importants travaux d’aménagement pour accueillir cet événement d’envergure.
Ce dimanche 28 avril, Valérie Pécresse a été interrogée sur la situation des transports en vue des Jeux olympiques de Paris et a déclaré que « nous sommes prêts » lors d’une interview avec le Parisien. La présidente de la région Île-de-France et d’Île-de-France Mobilités (IDFM) a annoncé qu’un « document » serait publié en juin pour « fournir toutes les informations nécessaires aux Franciliens pour se déplacer pendant cette période ».
Valérie Pécresse a ajouté : Celle qui a été raillée par La Fouine a ensuite précisé :
Il est difficile de communiquer sur les Jeux en raison du grand nombre d’informations à diffuser. Des informations erronées circulent encore.
Ce document vise à expliquer le fonctionnement de la nouvelle application smartphone « Transport public Paris 2024 » récemment lancée, ainsi que les différentes options de mobilité disponibles. Selon elle, les lignes de RER E, 11 et 14 seront prolongées « à temps ».
Valérie Pécresse confiante pour les transports aux JO 2024
En ce qui concerne la cérémonie d’ouverture, Valérie Pécresse envisage « la possibilité de laisser ouvertes toute la nuit les trois lignes automatiques de métro (1, 4 et 14) ». Pendant toute la durée des Jeux, les transports nocturnes seront renforcés, notamment le Noctilien avec « en moyenne, un bus toutes les vingt minutes au lieu de trente minutes. Et sur les deux lignes qui font le tour de Paris (N 01 et N 02), ce sera même un bus toutes les six minutes ».
Concernant la sécurité, Valérie Pécresse a souligné que « le risque zéro n’existe pas » et qu’il « peut y avoir un incident sur le réseau de transport, ou une canicule ». Ensuite, celle qui a été endettée à cause de sa campagne a conclu :
Nous ne sommes jamais à l’abri d’un incident. Nous savons qu’il y en aura. Nous recommandons le télétravail quand cela est possible. C’est logique. Il y aura du monde dans les transports en commun, les voitures ne pourront pas circuler. Mais nous ne forçons personne.
Ces propos peuvent ne pas convaincre tout le monde.