« Je suis submergé » : Mathieu Kassovitz parle de ses difficultés financières

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Ce samedi 22 juin, Mathieu Kassovitz était l’invité de LCI. À cette occasion, le réalisateur s’est confié sur ses soucis financiers malgré ses revenus confortables.

Mathieu Kassovitz est reconnu pour son franc-parler. Cela a été démontré récemment avec ses critiques envers Aya Nakamura concernant sa participation potentielle à la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024 et sa querelle avec Saïd Taghmaoui qui aurait pu mal tourner.

L’année dernière, Mathieu Kassovitz a survécu à un grave accident de moto. En mars dernier, il a partagé l’impact de cet accident sur sa vie quotidienne au micro du Parisien :

Ça a changé des choses intimes, par rapport à mes relations avec mes amis, ma famille. Et puis je m’ennuyais un peu dans la vie, donc, ça m’a permis de recentrer un peu les choses. Après, il y a les choses que tu décides de ne plus faire, et aussi il faut payer ses impôts. Si ça ne tenait qu’à moi, aujourd’hui, je ne ferais plus de cinéma, je passerais mon temps à étudier la physique quantique.

« Je suis submergé » : Mathieu Kassovitz parle de ses difficultés financières

Ce samedi 22 juin, Mathieu Kassovitz a abordé un autre problème de son quotidien lors de son passage sur le plateau de LCI pour le 20h avec Darius Rochebin. Le réalisateur de 56 ans a également discuté du climat politique en France, notamment la victoire du Rassemblement national aux élections européennes et l’approche des élections législatives.

Mathieu Kassovitz a surpris en évoquant ses problèmes financiers malgré son salaire élevé :

La France va mal, je suis entièrement d’accord. Moi, je gagne beaucoup d’argent, je n’arrive pas à m’en sortir. Je ne sais pas du tout comment font les gens… Le prix de l’électricité, le prix du gaz, l’essence… Tout est cher, mais je ne pense pas que ce soit un problème français. Je pense que c’est un problème international.

C’est notamment ces difficultés financières qui l’ont poussé à arrêter le Bureau des légendes en 2020. « Mais le trou à combler est plus financier qu’émotif », a-t-il confié au Parisien.

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